Jean Blaise GWET accorde une Interview au Journaliste Guy Hervé FONGANG de l’Hebdomadaire The Politics Hebdo

janvier 7, 2023by admin0
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LA GRANDE INTERVIEW

The Politics Hebdo : Comment êtes-vous arrivé en politique ?

Bonjour Cher Guy, merci de me donner l’occasion de m’adresser à mes frères et sœurs à travers cette interview. Avant toute chose, permettez-moi de profiter de l’occasion que vous m’offrez ici, pour présenter mes vœux les meilleurs pour cette nouvelle année 2023 à tous les camerounais et camerounaises, à tous mes frères, sœurs et amis(es) et enfin, à toute la communauté internationale.

Pour revenir à votre question, je dirai tout simplement que la politique est dans mon sang. Pour ceux qui auront l’occasion et la chance de lire mon livre qui paraît bientôt, ils comprendront que les gènes d’un héritage politique résident dans mon corps et dans mon sang.

Représentant exclusif de la marque LG et propriétaire de la marque LUCKYGWET, le peuple camerounais me découvre très tôt dans les années 2000, un Homme d’affaires dynamique, très entreprenant et surtout mécène de plusieurs activités sportives, sponsor des marathons du CEPAS, des activités sportives du Président Paul BIYA, à Yaoundé, pendant plusieurs années. Voir quelques images dans le lien suivant : https://mpcc.be/album-photos/

Chemin faisant, et voyant une jeunesse camerounaise bien dynamique en quête de soutien et de sponsor, je me dis qu’à travers ma modeste personne, Dieu a voulu que j’aide la jeunesse camerounaise, au lieu d’accumuler les bénéfices et la recherche du profit personnel. J’avais le plaisir de redistribuer mon argent à travers le soutien sportif des jeunes conquérants, qui me donnaient satisfaction, car, mon plaisir était de voir les jeunes réussir. Toutes les équipes que j’ai eu à soutenir ont été des équipes vainqueurs. Tour à tour, j’ai sponsorisé Dynamo Club de Douala, qui gagne contre le Canon de Yaoundé. L’année d’après, j’ai sponsorisé Canon de Yaoundé qui gagne contre Coton Sport de Garoua et l’année d’après, j’ai sponsorisé Kumbo Striker qui a également gagné la coupe du Cameroun de cette année-là.

En réponse à votre question, je dirai tout simplement que la politique est avant tout pour moi, le goût et le plaisir d’agir, d’aider les autres, de penser collectivement pour notre peuple, surtout pour les jeunes en quête de repères et pour les générations futures.

Par ailleurs, face aux problèmes et aux difficultés que rencontrent mes frères, mes sœurs et nos enfants au quotidien, l’attachement de mon cœur envers le Cameroun, notre peuple, m’oblige depuis toujours à ne pas rester dans l’inaction pour attendre un coup de baguette magique qui viendrait changer leur situation.

Face aux souffrances de mes compatriotes depuis des décennies, j’ai tourné le dos aux affaires et à la recherche du gain personnel, pour me préparer à faire changer les choses au Cameroun, après le Règne du Président Paul BIYA.

Il fallait passer à l’action en créant le 02 Octobre 2009 mon parti politique, le MPCC. J’ai décidé depuis lors, de m’investir et de me préparer en politique pour orienter notre avenir vers un projet favorable et mobilisateur qui redonnera espoir et la chance à notre peuple, plutôt que de rester immobile et continuer à subir tout.

Il est temps avec le MPCC, de faire la politique autrement au Cameroun. Une politique plus humaniste, une politique plus juste, une politique pour l’intérêt général. Au MPCC, je m’engage à mettre en place, un système plus démocratique dans lequel chaque citoyen doit devenir un acteur du changement, il devra s’engager en politique avec un seul objectif, celui de travailler pour un peuple et l’avenir des générations futures. Mon devoir et obligation sera de mettre en place des meilleures conditions d’éducation, de santé, de sécurité pour tous, en améliorant le niveau de vie de chaque camerounais en général.

C’est un travail d’équipe qui n’exclut personne. J’ai besoin de chaque Camerounais et Maintenant.

The Politics Hebdo: Fils d’un ancien activiste de l’UPC, pourquoi ne militez-vous pas dans ce parti ?

Le but premier d’un parti politique reste la conquête du pouvoir et la lutte pour les intérêts du peuple. Or, il me semble que l’UPC d’aujourd’hui s’est écarté de cet objectif principal et accompagne plutôt les amis en place à la quête du partage de gâteaux et de quelques places au soleil.

Il est temps d’ouvrir les yeux et de voir la vérité en face. À chaque chose un temps. Le MPCC a été pensé pour apporter un souffle nouveau à l’UPC, vous remarquerez que le Rouge de notre LOGO, représente le rouge de l’UPC. J’invite de ce fait tous mes frères et sœurs de l’UPC à nous rejoindre au sein de cette nouvelle formation politique, pour continuer ensemble le combat de nos ancêtres sous une autre forme, dans la paix, dans la dignité et uniquement pour les intérêts de notre peuple.

The Politics Hebdo : Votre nom GWET signifie Guerrier vous considérez vous comme tel, croyez-vous être investi d’une mission divine pour le Cameroun ?

Contrairement à mon Nom qui veut dire la « Guerre », je suis un homme de paix, d’amour et de tolérance. Un Homme d’un tempérament très calme, doux et conciliateur.

 Suis-je investi d’une mission divine ? Peut-être.

Je vais vous raconter une anecdote : En 2000, j’ai été invité par une amie Américano-Israélienne pour un court séjour en Israël.  Séjour au cours duquel, j’ai visité plusieurs villes dont Jérusalem, où j’ai été prié sur la tombe de Jésus. Chemin faisant, je suis allé à Bethléem, à Nazareth et dans plusieurs autres villes d’Israël. Durant ce séjour, je suis allé me laver dans le Jourdain, rivière dans laquelle Jésus-Christ a été baptisé par Jean-Baptiste.

Vendredi arrivé, je décide d’aller passer le week-end dans la ville de DIMONA : Une ville dans laquelle habite la communauté des juifs d’Ethiopie et les Noirs Américains vivant en Israël, en compagnie de la Princesse, mon Amie, qui annonça au Roi des Falashas ma venue dans la ville. Aussi tôt, des séances de prières furent organisées dans toutes les églises de la ville de Dimona à mon intention.

Le lendemain, samedi soir vers minuit, le Roi des Falashas eu une vision et envoya la princesse m’appeler à une heure aussi tardive. J’ai pris peur et dit à la princesse d’aller présenter mes excuses au Roi pour une heure aussi tardive et si possible de l’écouter. Lorsqu’elle revient, elle me dit: Jean, j’ai une bonne nouvelle à t’annoncer.

Le Roi vient d’avoir une vision qu’il voulait t’annoncer personnellement : Tu seras le prochain Président du Cameroun, après le Président Paul BIYA. Je lui ai répondu ce jour, que je ne rêve pas et ne fais pas de la politique.

De retour d‘Israël, j’ai commencé à voir plusieurs signes : Des apparitions de lumière dans mes mains de temps à autres, les victoires de toutes les équipes de football que j’ai eu à sponsoriser à l’époque etc… j’ai compris que ma mission sur terre était autre que la recherche d’argent, le bien être personnel et de la Richesse. Mais bien au contraire, qu’il fallait se préparer à la succession du Président Paul BIYA, ce que je fais depuis 22 ans, dans l’ombre et le silence.

Que faut-il en penser ?  Je crois profondément que tout pouvoir vient de Dieu qui confie à chaque être humain sur terre une mission dès sa naissance. La mienne est d’améliorer le bien-être des Camerounais par des prises de décisions au plus haut sommet de l’Etat en leur faveur.

The Politics Hebdo : Diplômé en 3ème cycle en Diplomatie et Stratégie, Diplômé de l’Institut Supérieur de Commerce et d’administration de Paris etc. Vous avez obtenu l’essentiel de vos diplômes à l’Étranger. Est-ce un aveu de la non compétitivité du Système éducatif Camerounais ?

La France est ma deuxième patrie, un pays qui m’a accueilli depuis 1979, comme résidant permanent avec une carte de séjour de 10 ans, que je renouvelle tous les 10 ans. N’eussent été mes ambitions politiques et l’amour que je porte pour le Cameroun, j’aurai pris la Nationalité Française, comme plusieurs de mes frères et sœurs. Je suis un patriote qui aime mon Pays, je mourrai Camerounais.

Quant au système éducatif camerounais, il se pose en effet, un problème de qualité d’éducation. Une étude de la Banque mondiale met en exergue la qualité médiocre de l’enseignement dans la plupart des établissements scolaires de notre pays. L’une des causes principales est l’insuffisance des capacités de gestion aux différents niveaux de décision. L’étude souligne que ce problème est étroitement lié aux problèmes de gouvernance, de mauvaise gestion et le manque de transparence dans l’allocation des ressources. Elle souligne également un écart préoccupant entre riches et pauvres.

La triste réalité est que dans sa politique de réduction du chômage, le gouvernement recrute et confie ce côté sensible de l’éducation, à des jeunes recrutés çà et là sans aucune qualité requise ; seulement en quête de matricule pour la fonction publique. Malheureusement, on trouve aujourd’hui des maîtres d’écoles incapable d’écrire une phrase sans fautes et encore moins de produire un texte qui suscite le goût et l’envie de lire ; chose inconcevable quelques années plutôt.

Bon nombre de jeunes des familles pauvres et ceux des zones rurales quittent l’école sans savoir lire, écrire ou compter et sont incapables d’intégrer le marché du travail.

Il est vrai que la politique du gouvernement est de doter chaque village d’au moins un établissement scolaire, cependant, les lycées généralement dans des zones dépourvu d’eau et d’électricité, avec des salles de classes aux constructions inachevés, et même que dans certaines villes et villages autour de Maroua et dans l’extrême nord en général, les élèves apprennent à même le sol. Bref, un cadre peu propice à l’éducation.

Et pour couronner le tout, les enseignements sont confiés à de jeunes vacataires qui dans leur grande majorité n’ont de souci que celui de joindre les deux bouts par tous les moyens. En plus, il y a ce phénomène d’achat des diplômes, décriés depuis longtemps par ceux qui se présentent dans les universités comme chargés de cours, professeurs d’universités.

Comment voulez-vous que l’enseignement soit compétitif ?

The Politics Hebdo: Quelle est l’origine du MPCC, quelle est votre vision pour le Cameroun et quels sont les piliers à travers lesquels vous souhaitez changer le Cameroun ?

La création du MPCC obéit à ma vocation, une mission quasi divine qui avait besoin de passer par la structuration d’un rassemblement politique, en quelque sorte un outil pour inoculer ma vision dans les têtes et les cœurs de mes partisans d’abord, des populations camerounaises et de la communauté internationale.

Mes Priorités immédiates seront ; La réduction de la vie chère des Camerounais, donner à chaque Camerounais un pouvoir d’achat conséquent, Donner de l’eau, de l’électricité, des routes, une assurance maladie, la santé, l’éducation, un HUB, un grand Aéroport International à l’extrême-nord à destination des Etats-Unis, Chine, Europe, le Monde…, Relancer le tourisme, l’industrie et les Emplois.

The Politics Hebdo : Vous êtes candidat à l’élection présidentielle 2025, quelle est la différence entre vous et les autres candidats ? Que proposez-vous aux Camerounais, quel est votre projet de société ?

N’ayant pas le droit d’énoncer un jugement sur ma propre personne et sur ma candidature, je préfère mettre à votre disposition quelques éléments de comparaison sur : Ma Naissance, mon Histoire, ma vie, ma Biographie, mes expériences, mon projet de société, mes engagements pour le peuple, dans les liens ci-dessous. Tout sur ma personne est documenté en photos et vidéos. Il est d’ailleurs plus simple d’aller sur Google et taper : Jean Blaise GWET, vous aurez tout sur ma personne et mon projet de société. Faites la même chose sur chacun des autres candidats, qui n’ont aucun parti politique pour certains, et aucun élu pour d’autres.

  • Ma Biographie : https://mpcc.be/jean-blaise-gwet-2/
  • Nos 20 Engagements (Projet de Société) : https://mpcc.be/nos-engagements/
  • Page d’Accueil MPCC : https://mpcc.be/
  • Album Photo : https://mpcc.be/album-photos/
  • Album Vidéo : https://mpcc.be/albums-videos/

Par ailleurs, il existe une différence fondamentale avec plusieurs candidats qui ne remplissent pas les conditions pour se présenter à l’élection présidentielle de 2025 car, ne disposant pas d’élus locaux, une condition essentielle. Au MPCC, nous avons 3 élus locaux : une grande différence qui nous qualifie d’office. D’autres se verront obligés de jongler avec des petits partis politiques du quartier pour pouvoir prétendre devenir présidentiable.

Une autre grande différence fondamentale réside dans le fait que, j’ai moi-même créé le MPCC, mon parti politique, qui est mon bébé, avec mon cœur il y a 14 ans. C’est un parti doté d’une vision, celle de ramener la paix au Cameroun après le Président Paul BIYA, à la différence de plusieurs leaders qui ont acheté ou repris des partis politiques existants. Pour moi, un vrai Leader politique est un homme qui a eu le courage de créer un appareil politique, qui l’accompagne jusqu’à la Magistrature Suprême. C’est mon cas depuis 14 ans.

Et enfin, je suis un homme, qui n’a jamais participé à aucun gouvernement. Un Comptable, un Diplomate, Un Stratège, Un Chef d’Entreprise qui sait dresser un Bilan et l’analyser.   Je viens du secteur des Affaires pour redresser un pays, avec nos richesses sans aller emprunter. Contrairement à d’autres candidats, qui ont travaillé dans le système actuel, avec d’autres qui pensent qu’on redresse un pays avec de beaux discours, à la télé et sur les réseaux sociaux.

The Politics Hebdo : Vous avez 3 Conseillers municipaux à la Commune de BOT MAKAK et participé à l’élection présidentielle de 2011, quelles leçons tirez-vous de ces différentes participations ?

L’élection Présidentielle de 2011 fut pour moi le début de l’apprentissage du métier de la politique qui est pour certain, une opportunité. Malheureusement, la politique est un métier qui demande de la Passion, de l’engagement, du travail, de la patience, du sacrifice et de la conviction.  Je suis allé à l’élection de la politique en 2011, comme un enfant qui entre à l’école primaire pour apprendre. 2018 a été pour moi, l’accomplissement d’un apprentissage qui m’a porté du primaire à l’Université, un parcours qui m’a donné tous les enseignements de la politique, tous les outils qu’il me fallait mobiliser pour conquérir la magistrature suprême. Avoir au moins un conseiller municipal, heureusement, j’en ai eu (3). Je ne pouvais en aucun cas rêver de boycotter cette élection comme d’autres l’ont fait. Un futur Président, c’est savoir anticiper, c’est aussi un réseau fort d’amis et relations qui croient en vous et qui vous accompagnent, même s’ils sont en back office pour la plupart, qu’on ne verra jamais.

Une élection présidentielle se prépare depuis des décennies. Je la prépare depuis 25 ans et je suis prêt.

The Politics Hebdo : Que pensez-vous d’une coalition des forces de l’opposition pour espérer remplacer Paul Biya ?

Depuis l’époque du Président John Fru NDI du SDF, les coalitions n’ont jamais marché dans notre pays : il y a toujours eu des traîtres à la dernière minute. Aujourd’hui encore où la politique est devenue un commerce dans notre pays, nous donnant l’impression que la politique s’est transformée en business, au lieu d’une lutte pour les intérêts d’un peuple et d’une Nation.

Nous sommes ouverts à toute coalition, à tous ceux qui souhaitent nous rejoindre dans notre vision de paix. Une vision de tolérance qui ne donne aucune place à tous ceux qui attendent faire la chasse aux sorcières à Monsieur BIYA et à ses équipes. Bien au contraire, je ferai adopter une loi, qui accorde un régime spécial à tout ancien Président de la République et sa famille, ainsi que pour tous les grands commis de l’État ayant servi la Nation avec honneur et dignité.

The Politics Hebdo : Quelles sont les clés de votre point de vue pour vaincre le régime de Paul Biya ?

Vous avez certainement constaté vous-même dans le monde d’aujourd’hui, que malgré la dominance des partis au pouvoir dans les jeux électoraux en Afrique, des candidats de partis d’opposition réussissent malgré tout à les battre et à obtenir la magistrature suprême.

Ce qui sera le cas pour le Cameroun. Le régime en place a fait son temps autour d’un homme, le Président Paul BIYA. Le système en place est usé et il est question de voir la vérité en face et de chercher un Homme Nouveau qui n’a jamais travaillé dans le système BIYA, un Homme qui aura le devoir de rassembler les Camerounais de tous bords, sans aucune discrimination, ethnique, culturelle, religieuse… pour marcher tous ensemble vers l’essentiel, dans la tolérance, dans l’amour, avec l’engagement que j’ai pris ; de ne jamais faire de chasse aux sorcières.

Nous proposons à tous les jeunes de chaque village, de chaque ville, de chaque département, de chaque région de se lever et de devenir MPCC dans sa localité. Ils seront tous présentés, aux prochaines élections municipales et législatives, contre les listes des autres partis politiques.

Le MPCC (Le Mouvement Patriotique pour le changement du Cameroun) que je dirige est un parti politique ouvert à tous nos compatriotes et pour nos compatriotes. Nous vous attendons tous.

The Politics Hebdo : Après l’UNC, il y’a eu le RDPC, que répondez-vous à ceux qui disent que le système va se reproduire et qu’il faut prendre très au sérieux la candidature de Franck Biya ?

Le Président Paul BIYA est un sage qui aime cette Nation et ses enfants. À l’aube de sa retraite, il me semble inimaginable de penser que le Président peut avoir à l’idée de jeter son fils dans la gueule des loups, car les vrais loups sont cachés au sein du RDPC et chacun de ces loups tapis dans l’ombre guette le siège du Président. La solution ‘Franck Biya’ risque de plonger le Cameroun dans une crise profonde, qui pourrait par ailleurs avoir pour conséquence l’exil du Président et sa famille.

Notre pays traverse depuis plusieurs années une guerre civile qui ne dit pas son nom au NOSO. Avec plusieurs familles en exil, aussi bien à l’intérieur du Cameroun qu’à l’extérieur. Le climat social ne cesse de se dégrader sur l’ensemble du territoire national. Le 13 Décembre 2022, Douala a vécu la psychose du phénomène des ‘microbes’ paralysant et terrorisant les populations de la ville de Douala. Tout ceci dénote du ras le bol des populations. Le peuple Camerounais n’est plus prêt à continuer à supporter le système actuel que l’on cherche à pérenniser à travers le fils Franck Biya. Malheureusement, si cet acte se produit un jour, ce sera une preuve de désamour pour notre nation, peut-être une ouverture à une crise profonde qui ne prendra fin qu’après son départ. Une solution à éviter absolument.

Notre pays est à la croisée des chemins, avec deux alternatives possibles: 1/ Soit on fait un décollage majestueux. Donc, un nouveau départ qui redonnera confiance et espoir à notre peuple et aux investisseurs. 2/ A défaut, on tombe dans une guerre civile et une crise profonde.

Pour conclure, il est temps de passer à autre chose avec un Homme Nouveau, un Homme propre, un Homme prêt à servir un peuple avec honneur et dignité, un Homme qui redonnera confiance aux investisseurs, un Homme prêt à donner une place à chaque Camerounais. Je suis debout et prêt à servir la Nation avec Honneur et Dignité.

Je ne trahirai jamais personne. Avec conviction profonde, nous gagnerons pour le bonheur de notre peuple.

Jean Blaise GWET 

Président National du MPCC

(Mouvement Patriotique Pour le Changement du Cameroun)

jbgwet@yahoo.

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